24% des fumeurs et 20% des anciens fumeurs, souffrent régulièrement de rhonchopathie chronique contre 14% des personnes n'ayant jamais fumé.
L'enquête menée sur 15.555 hommes et femmes entre 25 et 54 ans en Islande, Estonie, Danemark, Norvège et Suède a montré pour la première fois que la fumée passive chez les adultes représentait un facteur de risque pour le ronflement.
20% des personnes n'ayant jamais fumé qui sont exposées quotidiennement à la fumée passive à leur domicile, ronflent régulièrement, contre 13% de non-fumeurs qui vivent dans un environnement sans fumée.
Les ronflements augmentent proportionnellement à la fumée
inhalée. L'augmentation de ce risque, encouru avec la fumée
active ou passive, est indépendante de l'excès pondéral,
du sexe, de l'âge et du domicile.
The Influence of Active and Passive Smoking on Habitual Snoring, Karl A. Franklin et al., American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine 2004; 170: 799-803
Ronflement
favorisé par la fumée active ou passive
(AT)
Il n'est pas rare que les fumeurs ronflent. C'est le résultat d'une
enquête menée sur 15'555 hommes et femmes entre 25 et 54 ans
en Islande, Estonie, Danemark, Norvège et Suède.
* 24% des fumeurs et 20% des anciens fumeurs, souffrent régulièrement
de rhonchopathie chronique contre 14% des personnes n'ayant jamais fumé.
L'étude réalisée en Europe septentrionale a montré
pour la première fois que la fumée passive chez les adultes
représentait un facteur de risque pour le ronflement.
* 20% des personnes n'ayant jamais fumé mais qui sont exposées
quotidiennement à la fumée passive à leur domicile,
ronflent régulièrement, en comparaison avec 13% des non-fumeurs
qui vivent dans un environnement sans fumée.
Les ronflements augmentent proportionnellement à la fumée
inhalée. L'augmentation de ce risque, encouru avec la fumée
active ou passive, est indépendante de l'excès pondéral,
du sexe, de l'âge et du domicile.
Sources
: Nouvelles de l'AT (www.at-suisse.ch) et Karl A. Franklin et al., The Influence
of Active and Passive Smoking on Habitual Snoring, in: American Journal
of Respiratory and Critical Care Medicine 2004; 170: 799-803 doi: 10.1164/rccm.200404-474OC
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