Le premier dériveur acquis par Loulou (quand?) a été un vaurien baptisé Baloufar (merci Papy) dont les voiles étaient rouges et dont j'ai oublié le numéro d'immatriculation (3194?). Il était en bois vernis et on a dû galérer pour le poncer, le vernir, etc. C'était tout un fourbis pour l'équiper, le descendre sur la plage, le gréer, le mettre à l'eau.
Et il fallait s'harnacher: les cirés, les gilets de sauvetage, tout le cirque et tout remonter trempé pour rinçage et séchage.
Ce n'était pas la tasse de thé de Kostia mais elle a fait bien des
voyages aux Evens et dans la baie. Nous aussi. Jusqu'à ce qu'on casse
le mât par une sortie trop venteuse (j'étais avec Frédéric). Par la
suite François a eu un Flying Dutchman. Les vauriens ont plus ou moins
disparu, avalés par les coques en plastique des 420, 480 et le fait
qu'on pouvait y faire du trapèze... Du dériveur Loulou quant à lui est
passé directement à la croisière (d'abord Pégasse, puis Gwagenn,
bonjour les ponçages et la peinture! enfin Afaloa).
Commentaires