L'EXPRESS dresse le portrait de Marilyse, étudiante de Montpellier en guerre contre le tabagisme passif, qui « se bat pour le strict respect de la loi Evin ». Elle affirme « A la fac le hall était enfumé, les profs allumaient leur cigarette dans l'amphi pendant la pause » et elle ajoute qu'après avoir protesté tous les jours auprès du doyen, elle a fini par « porter plainte contre la faculté en mars 2002 pour non respect de la loi Evin », une plainte classée sans suite. Indiquant que depuis 2004 elle est devenue présidente de l'Observatoire sanitaire et social des activités festives qui, dans le strict respect de la loi Evin, organise des soirées dans les bars et discothèques et informe sur le tabagisme passif, l'hebdo souligne qu'elle démarche des institutions pour que la loi soit appliquée. Le magazine qui signale qu'elle vient de passer le concours d'inspecteur des affaires sanitaires et sociales, note « qu'une fois de plus les pouvoirs publics l'ont déçue en reculant devant une interdiction totale ». Elle affirme « tant que les politiques ne prendront pas leurs responsabilités, je continuerai ».
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