Le rapport du CNCT ouvre une crise, en proposant l'interdiction de tous les arômes, sauf le tabac et met en danger tant le fonctionnement d'une filière start-up admirable et la survie de tous ceux qui y travaillent que leurs millions de clients/consommateurs/anciens fumeurs. C'est dégueulasse et dangereux et déjà dommageable par le simple fait de diffuser de tels propos comme émanant d'une source présentée et considérée comme légitime et experte (ce qu'elle n'est pas).
D'un autre côté, la menace de prohibition des arômes made in Bloomberg/USA, transmise servilement par OMS, la petite clique du CNCT actuel et prête à transiter via une Commission Européenne aux ordres, est déjà là et il vaut sans doute mieux la combattre et l'abattre maintenant en France, en s'appuyant sur toute une filière nationale originale qui, si elle se mobilise fortement, peut transformer cette crise en opportunité pour tordre le cou à un rapport inique, réformer l'association qui l'a pondu en cassant sa pseudo légitimité et sa pseudo expertise, faire partir ses dirigeants usés, et parvenir enfin à faire reconnaître par les pouvoirs publics (jusqu'à présent complices dudit CNCT) le rôle éminent joué par les start ups de vapotage à la française dans l'aide à l'arrêt pour des millions de fumeurs. Et pour éviter tout nouvel accident de ce type, redémarrage d'une commission vapotage à la DGS et nouveau CA pro-vape, pro réduction des risques au CNCT. Amen.